Solutions et traitements

POUR LA FEMME

- Insémination Intra-Utérine (IIU)
- Fécondation in vitro (FIV)
- Induction de l’ovulation
L’insémination artificielle, ou l’IIU, est un traitement de fertilité courant utilisé pour divers problèmes de fertilité. Cette méthode est considérée comme moins invasive que certaines techniques de PMA (Procréation Médicalement Assistée), puisque les étapes cruciales nécessaires à la conception doivent se produire naturellement, sans aucune assistance médicale.
Ce qui se passe pendant l’IIU
- Au cours d’un examen gynécologique, le médecin introduit un cathéter mince et flexible dans le col de l’utérus de la patiente afin de déposer un échantillon de sperme dans son utérus. Cette insertion est sans douleur et la patiente peut reprendre ses activités quotidiennes dans les minutes qui suivent.
- Le sperme introduit dans l’utérus de la patiente a été lavé en laboratoire afin d’en retirer le liquide séminal et de le rendre plus concentré.
- Le sperme peut provenir du conjoint (insémination artificielle intra-couple ou avec sperme du conjoint, IAC) ou d’un donneur (insémination artificielle avec donneur, IAD).
Indications pour une IIU utilisant le sperme du conjoint
- Les problèmes d’infertilité masculine associés à un faible nombre de spermatozoïdes ou à des troubles de la motilité ou de la morphologie des spermatozoïdes.
- L’infertilité masculine à la suite d’un traitement contre le cancer (lorsque le patient, en prévision de ce problème, a fait congeler son sperme avant le début du traitement).
- Échecs répétés de la stimulation ovarienne.
- Infertilité inexpliquée.
Indications pour une IIU utilisant le sperme d’un donneur
- Anomalie majeure du sperme, comme une absence totale de spermatozoïdes.
- Maladies génétiques héréditaires ou maladies contagieuses qui pourraient être transmises à la conjointe.
- Iso-immunisation ou autres problèmes.
- Infertilité masculine à la suite d’un traitement contre le cancer.
Par définition, l’insémination artificielle dépose du sperme dans l’utérus de la femme. La fécondation in vitro (FIV) va au-delà de cette procédure en fécondant l’ovule de la femme avec le sperme de l’homme à l’extérieur du corps de la femme. Le terme « bébés-éprouvette » est un synonyme de la FIV.
Depuis 1978, l’année de naissance de Louise Brown (la première personne née à la suite d’une FIV) en Grande-Bretagne, cette technique a largement dépassé son indication initiale, soit le traitement de la stérilité tubaire. Aujourd’hui, plus de la moitié des procédures de FIV sont réalisées pour d’autres raisons, par exemple, pour traiter une infertilité inexpliquée et pour augmenter les chances de succès dans les cas d’infertilité masculine.
Pour la plupart des gens, la FIV consiste simplement à unir deux gamètes dans une éprouvette. Mais pour les couples qui ont décidé de suivre un traitement de FIV, ce processus se traduit par d’innombrables rendez-vous à la clinique, prises de sang et injections, ainsi que par des questions et encouragements constants et beaucoup d’attente. L’attente des résultats des tests, l’attente des embryons, l’attente du test de grossesse, l’attente de l’arrivée d’un enfant dans leur vie.
Les couples qui suivent un traitement de FIV doivent faire face à plusieurs défis, notamment le fait de tout apprendre sur la procédure, ce qui inclut une masse d’information à assimiler qui n’est pas toujours facile à comprendre. Avant de vous décider à suivre le traitement, nous vous suggérons d’en apprendre le plus possible sur le traitement de FIV en consultant votre médecin et en faisant des recherches à l’aide des nombreux livres et sites Web qui existent sur le sujet. En étant bien informé sur tout ce qu’implique la procédure, vous aurez l’esprit plus tranquille lorsque vous commencerez votre traitement de FIV.
Étapes préliminaires de la FIV
Vous et votre partenaire rencontrerez un de nos médecins. À ce moment-là, vous recevrez votre diagnostic et discuterez avec votre médecin pour déterminer si la FIV est le traitement le mieux adapté à votre situation particulière.
Une fois que vous aurez décidé de suivre la FIV, on réalisera un bilan de base, ainsi que plusieurs autres rencontres, rendez-vous et tests :
- Une consultation avec un conseiller ou un psychologue spécialisé en fertilité.
- Un autre rendez-vous avec votre médecin pour mettre au point votre plan pour la FIV.
- Une rencontre avec votre infirmière, au cours de laquelle l’infirmière passera en revue avec vous tous les renseignements se rapportant à chaque étape du traitement. Elle vous donnera également vos médicaments et vous expliquera le calendrier du traitement et comment prendre vos médicaments.
- Une consultation avec l’urologue si une aspiration de sperme épididymaire ou une extraction testiculaire de spermatozoïdes est requise. Il pourrait aussi être nécessaire de prélever un échantillon de sang pour une analyse génétique. Les patients peuvent faire ces tests à la clinique Procrea Fertilité ou bien choisir une autre clinique.
Toutes ces étapes préliminaires vous permettent de mieux vous préparer pour la FIV en corrigeant tout problème identifié et en vous fournissant tous les renseignements dont vous avez besoin pour bien comprendre le processus. Les étapes du processus de FIV sont expliquées ci-dessous.
Première étape : Suppression ovarienne
La première étape consiste à supprimer la fonction ovarienne par l’administration d’un contraceptif oral et/ou d’un médicament qui inhibe l’hypophyse. Cette étape n’est pas toujours requise et votre médecin déterminera si elle est nécessaire ou non dans votre cas. Pendant la phase de suppression, les taux d’œstrogène deviennent faibles, comme à la ménopause, ce qui entraîne certains effets secondaires similaires, comme des bouffées de chaleur et des changements d’humeur. Cette étape (si l’on détermine qu’elle est le meilleur choix pour vous) nous permet de remplacer votre cycle naturel par un cycle artificiel, qui est ensuite contrôlé avec les médicaments prescrits.
Deuxième étape : Stimulation ovarienne
(superovulation)/hyperstimulation ovarienne contrôlée (HOC)
La suppression ovarienne est atteinte lorsque le taux d’œstradiol est suffisamment bas, comme décrit à l’étape 1. À ce moment, on peut commencer la stimulation ovarienne afin d’établir un « cycle artificiel ». Vos ovaires produisent et libèrent habituellement un seul ovule par cycle. Bien que cela suffise pour une conception naturelle, la conception par FIV nécessite habituellement plusieurs ovules.
Pour en obtenir plusieurs, on a recours à l’hyperstimulation ovarienne. Ces médicaments stimulent le développement de plusieurs follicules ovariens, permettant ainsi le prélèvement de plusieurs ovules.
- Taux d’œstradiol : cette analyse sanguine est utilisée comme un indicateur de votre réponse aux médicaments.
- Hormone lutéinisante (Luteinizing Hormone, LH) : on doit supprimer le taux de cette hormone afin d’empêcher votre corps de libérer les ovocytes trop tôt.
- Échographie transvaginale : elle est utilisée pour vérifier le nombre et le diamètre des follicules qui se sont développés pendant la stimulation ovarienne.
Troisième étape : Déclenchement du processus de maturation des ovules
Lorsque les follicules sont suffisamment gros et que les taux d’hormones sont adéquats, il est temps d’inciter les ovaires à préparer les ovules pour la maturation et l’ovulation. Le déclenchement se fait en injectant la gonadotrophine chorionique humaine (human Chorionic Gonadotropin, hCG, une hormone de grossesse similaire à la LH) ou une hormone recombinante.
Quatrième étape : Prélèvement des ovules/ovocytes (aussi appelé la ponction ovocytaire)
Les ovules sont prélevés par voie transvaginale à l’aide du guidage échographique. Une fois les follicules matures localisés, le médecin ponctionne chacun d’entre eux à l’aide d’une aiguille attachée à la sonde et aspire le liquide. On vous administrera un anesthésique local ou un sédatif par perfusion intraveineuse (i.v.). Si vous le désirez, vous pourrez suivre la procédure sur l’écran d’échographie. L’embryologiste analyse le contenu de chaque follicule au microscope. Lorsque la procédure est terminée, on vous informe du nombre total d’ovules prélevés. Dans la même journée, ces ovules seront mis en contact avec les spermatozoïdes in vitro afin d’être fécondés et de former ensuite des embryons.
Cinquième étape : Transfert d’embryons
Le transfert d’embryons consiste à déposer un ou plusieurs embryons (habituellement un) à l’intérieur de la cavité utérine de la patiente, habituellement au jour 5 du cycle. Cette procédure nécessite que la vessie de la patiente soit remplie afin qu’on puisse obtenir une meilleure visualisation à l’aide de la sonde à ultrasons abdominale.
Et après?
L’attente du test de grossesse est souvent la période qui suscite le plus d’anxiété chez les patientes qui suivent un traitement de FIV. Une analyse sanguine est effectuée 12 jours après le transfert; cette analyse détecte de façon précise l’hormone de grossesse (hCG) dans votre sang. On vous appellera la même journée pour vous communiquer le résultat qui, on l’espère, sera positif.
- Vous avez des problèmes d’ovulation qui n’ont pas répondu aux médicaments couramment prescrits (comme le citrate de clomifène).
- Vous avez une infertilité inexpliquée et désirez tenter l’induction de l’ovulation afin d’augmenter le nombre d’ovules produits au cours de chaque cycle. Avec une production d’ovules plus élevée, les chances de conception augmentent également. Pour pouvoir bénéficier d’une induction de l’ovulation, vous devez avoir une cavité utérine normale ainsi qu’au moins une trompe de Fallope normale et votre partenaire doit avoir un nombre normal de spermatozoïdes.
PRÊTS À FAIRE
LE PREMIER PAS ?
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POUR l’homme
- TRAITEMENTS
MÉDICAUX - Correction
chirurgicale - ICSI
- AMP
MÉDICAUX
- Des antibiotiques afin de traiter une infection du système uro-génital.
- Des hormones dans les cas où le testicule ne reçoit pas assez de stimulation des hormones hypophysaires.
chirurgicale
- Intervention chirurgicale en cas d’azoospermie excrétoire. Lorsqu’un homme est atteint de ce problème, les testicules produisent des spermatozoïdes, mais ceux-ci ne sont pas présents dans l’éjaculat, car il existe un obstacle quelque part sur leur parcours. L’intervention chirurgicale permet d’identifier l’obstruction, puis de la retirer et de reconnecter les segments.
- L’intervention chirurgicale peut être tentée afin de couper la zone obstruée et de rétablir la continuité des deux segments.
- Injection intracytoplasmique de spermatozoïdes (Intracytoplasmic Sperm Injection, ICSI) : Il s’agit d’un traitement uniquement pratiqué dans le cadre d’une fécondation in vitro (FIV). On y recourt dans les cas graves d’infertilité masculine, quand il n’y a pas assez de spermatozoïdes, et qu’ils ne sont pas assez mobiles pour pouvoir pénétrer l’ovule. À partir d’un échantillon du sperme du conjoint, l’embryologiste injecte dans chacun des ovules de la conjointe un spermatozoïde capturé avec une aiguille de verre dont le bout a un diamètre microscopique.
- Aspiration percutanée de sperme épididymaire (Percutaneous Epididymal Sperm Aspiration, PESA) : Il s’agit d’un traitement uniquement pratiqué dans le cadre d’une fécondation in vitro (FIV). Pratiquée sous anesthésie locale, cette intervention est effectuée en cas d’obstruction des canaux déférents. Le plus souvent, cela consiste à effectuer une ponction dans l’épididyme à l’aide d’une fine aiguille. Cependant, une petite incision dans l’épididyme est parfois nécessaire. Des spermatozoïdes sont alors recueillis et les meilleurs d’entre eux sont utilisés pour une FIV avec micro-injection.
- Extraction testiculaire de spermatozoïdes (Testicular Sperm Extraction, TESE) : Il s’agit d’un traitement uniquement pratiqué dans le cadre d’une fécondation in vitro (FIV) avec ICSI. Cette procédure, effectuée sous anesthésie locale, consiste à prélever des spermatozoïdes directement des testicules à l’aide d’une aiguille très fine. Cette technique est employée lorsqu’il y a une absence complète de spermatozoïdes dans l’éjaculat ou l’épididyme, mais que les testicules continuent de produire des spermatozoïdes.
- Insémination artificielle avec sperme du conjoint (IAC).
- Insémination artificielle avec sperme de donneur (IAD).
- Fécondation in vitro avec sperme du conjoint.
- Fécondation in vitro avec sperme de donneur.
Plus d’infos sur les traitements
Pour une prise de décision éclairée…
L’insémination artificielle est la plus classique et également la plus simple des techniques de Reproduction Assistée. Elle consiste à introduire le sperme de l’homme dans le canal cervical ou à l’intérieur de l’utérus de la femme, le jour même de l’ovulation. Il faut pour cela commencer par réaliser une bonne surveillance du cycle menstruel afin de connaître le jour où se produit l’ovulation. On effectue pour cela des échographies sériées et des déterminations hormonales.
Pour l’insémination artificielle, en outre, le sperme doit être préparé à l’avance. Il faut pour cela l’obtenir au préalable et procéder à la capacitation (également appelée amélioration) en laboratoire, afin d’obtenir un sperme de la meilleure qualité possible.
Cette technique peut être répétée plusieurs fois, mais il a été démontré que son efficacité diminue considérablement à partir de la quatrième tentative approximativement ; il n’est donc pas rentable de continuer sur cette voie et d’autres traitements doivent être proposés.
FÉCONDATION IN VITRO
La FIV consiste à réaliser l’union des gamètes (spermatozoïde et ovule) en les mettant en présence dans un milieu de culture. L’embryon obtenu est transféré immédiatement in utero ou congelé. Pour donner le plus de chances à une FIV d’aboutir à une grossesse, plusieurs embryons sont créés. Des techniciens de laboratoire sont chargés de choisir les embryons qui seront réimplantés. Les embryons sont classés selon l’allure, l’avancée de leur division cellulaire… Ainsi, les 4a, quatre cellules, allure ronde, sont sélectionnés en priorité. Quand la mère a moins de 38 ans, 2 à 3 embryons sont réimplantés. Quand elle a dépassé cet âge, 3 à 4 embryons seront transférés dans l’utérus maternel.
La FIV peut être réalisée en cycle spontané à condition qu’il soit normal.
INJECTION INTRA-CYTOPLASMIQUE DE SPERMATOZOIDES (ICSI)
Cette technique est en fait une fécondation in vitro assistée. Les étapes de recueil des gamètes sont identiques à celles de la FIV. C’est la technique de “fabrication” de l’embryon qui diffère. Pour l’ICSI, une micro-pipette chargée d’un seul spermatozoïde est introduite dans l’ovule grâce à une pipette de contention.
Un spermatozoïde unique est sélectionné et transféré directement dans un ovocyte (obtenu grâce à une pipette de contention). L’embryon est ensuite transféré dans l’utérus.
La première étape du traitement, dans beaucoup de cas, consiste en un traitement pharmacologique pour induire l’ovulation.
Lorsqu’elle est indiquée, l’insémination artificielle est généralement associée à l’induction de l’ovulation et c’est souvent la première procédure à laquelle on a recours, parce qu’il s’agit d’une technique simple et économique. Elle est utile également lorsque l’on détecte une altération (peu importante) dans l’échantillon de sperme, dans certains cas de facteur féminin et dans certaines causes mixtes.
La fécondation in vitro (FIV) sera nécessaire lorsqu’une obstruction des trompes de Fallope a été diagnostiquée (c’est aussi pour cela qu’on l’utilise lorsque l’on désire avoir un enfant après une ligature des trompes), lorsque l’on dispose de très peu de spermatozoïdes de l’homme ou lorsque l’on n’obtient pas la grossesse après plusieurs tentatives d’insémination artificielle
Plus de la moitié des couples ayant plus de deux ans de stérilité parviennent finalement à obtenir une grossesse. Avec les progrès en matière de recherche et une plus grande disponibilité des toutes dernières techniques, le taux de réussite des traitements augmente constamment.
Les traits phénotypiques dont on tient compte sont la couleur des yeux, la couleur et la texture des cheveux, la couleur de la peau, le facteur Rh, la taille et le poids.
CONSULTEZ NOS TARIFS
Hystéroscopie Diagnostique avec Anesthésie
280.000 FCFA
Hystéroscopie Diagnostique sans Anesthésie
150.000 CFA
DEMANDE D'INFORMATIONS
DR LADIKPO
Gynécologue-obstétricienne
Dr JLADIKPO est gynécologue-obstétricienne avec une expérience pratique de plus de 10 ans. Titulaire d’un Diplôme d’Etudes Spécialisées en Gynécologie-Obstétrique, elle est également détentrice d’un Diplôme Universitaire de l’Infertilité et Aide Médicale à la Procréation de l’Université Paris Descartes et d’un Diplôme Universitaire de Colposcopie et Pathologie Cervico-vaginale de l’Université d’Angers.
Elle compte à son actif plusieurs formations notamment en Droits de Santé Sexuelle et Reproductive et en Management des Ressources Humaines en Santé. Elle rejoint la dynamique équipe de PROCREA le 02 Mai 2023
DR. GLIDJA RODRIGUE ANGES KOSSI
PÉDIATRE
Dr. Glidja est pédiatre avec une expérience de 10 ans dans le domaine de la pédiatrie générale. Fort d’une expérience Internationale dans la sous-région, Il côtoie des patients d’origines et de cultures diverses. En dehors de son DES de Pédiatrie à la Faculté des Sciences de la Santé de l’Université de Lomé, Il compte à son actif plusieurs formations notamment dans le cadre de la Tuberculose et des Techniques de Communication.
Il rejoint la dynamique équipe de la Clinique PROCRÉA le 10 janvier 2022.
DR. HONORINE HENRI JEAN RENÉ
Directeur Médical
Doctorat d’Etat en Médecine Faculté de Médecine d’Abidjan. Il a occupé précédemment les fonctions de conseiller du Directeur Technique et Commercial Adjoint, Chef de Département Maladie et Protection Sociale à la SIDAM, Médecin Résident à la Clinique La Madone de 1988 – 1998.
PROF. ATTOUNGBRE MARIE LAURE
Pharmacienne biologiste associée
Pharmacienne biologiste associée, Marie-Laure Attoungbré est la responsable du laboratoire d’analyse classique et de la pharmacie.
Professeur titulaire en Biochimie, Biologie de la Reproduction,
Pharmacienne-biologiste
Biologiste de la Reproduction
DR. OUSSOU CLÉMENT
Gynécologue Obstétricien Échographiste associé
Médecin associé, Clément Oussou est l’un des spécialistes consultants en gynécologie obstétrique et est également spécialiste en vidéo chirurgie.
- Diplômé en chirurgie endoscopique en Gynécologie et reproduction humaine (Université Yaoundé I – Cameroun)
- Diplôme Européen 3ème cycle d’endoscopie opératoire en gynécologie (Université d’Auvergne Clermont-Ferrand I – France)
- Diplômé en hystéroscopie, endoscopie génitale et pathologies Cervico-vaginales (Université Pierre et Marie Curie Paris VI – France)
- Diplômé en médecine et biologie de la reproduction (Université Pierre et Marie Curie Paris VI – France)
- Diplômé en management sanitaire (Centre Africain de Management et perfectionnement des Cadres : CAMPC Abidjan – Côte d’Ivoire)
- Membre de la société des gynécologues et Obstétriciens de Côte d’Ivoire depuis 2004
- Membre Correspondant étranger du collège national des Gynécologues et Obstétriciens Français depuis le 12 Février 2013.
DR.Amos
Dr Amos-Djoro
est spécialiste en médecine générale avec une expérience de plus de 35 ans de
pratique dans le domaine. Diplômé de la Faculté de médecine de Tours en France, il a exercé la médecine de ville en Maison de Santé
Pluridisciplinaire dans le Cher puis en Maison Médicale dans la Nièvre, entre
1996 et 2021. Fort de cette longue expérience d’omnipraticien, il intègre la clinique PROCRÉA le 1er octobre 2022 en qualité de Responsable du service Médecine Générale.
Dr. NASSIROU ADEBAYO FAISSAL
PEDIATRE - Responsable du service pédiatrie
Dr Nassirou est pédiatre avec une expérience de plus de 15 ans dans le domaine de la néonatologie et de la Pédiatrie en Général. En dehors du DES de Pédiatrie Médicale et de Puériculture, Il compte à son actif plusieurs diplômes dont un DES en Bactériologie Virologie de Université Félix Houphouët d’Abidjan, un DIU d’Endocrinologie Périnatale de Paris Saclay et une formation en Réanimation du nouveau-né de Relations Médicales Aix-Marseille -Provence.
Il intègre la clinique PROCRÉA le 1er novembre 2021 en qualité de Responsable du service pédiatrie.
DR NOEl KOUASSI
Médecin / Anesthésie réanimation
Dr JOEL KOUASSI est détenteur d’un doctorat en médecine, diplôme d’état, d’un certificat d’étude spécialisée en anesthésie réanimation et d’un diplôme d’université en médecine de catastrophe.
Il intègre la clinique procréa le 02 janvier 2023 en qualité d’anesthésiste-réanimateur résident, avec une expérience professionnelle de 28 ans en anesthésie et réanimation.
Dr. Mariame SAKO
Gynécologue - Médecin Généraliste
Dr. Mariame SAKO est détentrice d’un doctorat en médecine de la faculté libre de médecine de Lille. Au cours de son cursus elle s’est spécialisée en médecine d’urgence et de catastrophe et en gynécologie médicale entre autres, avec une expérience de plus de 10 ans dans les domaines cités.
Dr. Marie JEANSON
Médecin Généraliste - Médecin Esthétique
Dr. Marie JEANSON est détentrice d’un diplôme d’étude spécialisée en
Médecine générale de l’Université Paris Est Créteil. Au cours de son cursus, elle s’est spécialisée en Injections à visée esthétique et réparatrice du visage à l’Université Paris Descartes.
Elle intègre la clinique PROCRÉA le 1er mars 2023 en qualité de médecin généraliste résident du service d’hospitalisation.
Dr. Ahoui KONAN
Pharmacien en Chef
Dr Ahoui KONAN est détenteur d ‘un diplôme de doctorat en pharmacie de l’université Félix Houphouët Boigny d’Abidjan en 2008. Il a exercé en tant qu’assistant pharmacien de 2008 à 2010, puis fonctionnaire de 2010 à 2014, et pharmacien de 2014 en 2021. Le 1er mars 2023 il rejoins la clinique PROCREA en qualité de Pharmacien Chef.
Mme. KARIDIATA KONE
Sage-femme
Mme KARIDIATA KONE sage-femme diplômée d’Etat INFAS depuis 1990, formée par la banque mondiale sur la qualité des services délivrées dans les établissements de santé ; elle est formatrice référente des sages femmes et superviseur qualité pour le district de Cocody- Bingerville. Elle comptabilise 33 années d’expérience.
M. Oumar KONATE
Maïeuticien
M. Oumar KONATE Maïeuticien diplômé d’Etat de l’ENPS (Ecole Nationale de Santé Publique) de Bobo Dioulasso depuis 2005 avec plusieurs expériences en qualité de responsable de services Gynéco-Obstétriques, hospitalisations et surveillant adjoint d’unités de soins ; il comptabilise 17 années d’expérience.
DR. Mantary SOUMAHORO
Pharmacienne biologiste - Qualiticienne
Dr Mantary SOUMAHORO est pharmacienne- biologiste et qualiticienne.
Elle est détentrice d’un Doctorat en Pharmacie et d’un DU en Assurance Qualité du Médicament de la Faculté de Médecine et de Pharmacie de Rabat, avec une dizaine d’années d’ancienneté.
Au cours de son cursus elle s’est spécialisée en Biologie Clinique :
DES de Biologie Clinique de l’Université Félix Houphouët d’Abidjan, et en AMP : DU en Gynécologie de l’infertilité et AMP de L’Université Paris Cité.
Elle intègre la clinique PROCRÉA le 1er SEPTEMBRE 2022 en qualité de Pharmacien- Biologiste et Responsable Adjoint des activités AMP.
DR. JOSE AMOS DJORO
Médecin Généraliste / Responsable du service de Médecine Générale
Dr Amos-Djoro est spécialiste en médecine générale avec une expérience de plus de 35 ans de pratique dans le domaine. Diplômé de la Faculté de médecine de Tours en France, il a exercé la médecine de ville en Maison de Santé Pluridisciplinaire dans le Cher puis en Maison Médicale dans la Nièvre, entre 1996 et 2021. Fort de cette longue expérience d’omnipraticien, il intègre la clinique PROCRÉA le 1er octobre 2022 en qualité de Responsable du service Médecine Générale.
Dr. Myriam KADIO-MOROKRO
Médecin biologiste de la reproduction
Directrice Générale de la Clinique PROCRÉA, Vice-présidente de la fondation LYA – vivre avec la drépanocytose
Titulaire d’un doctorat d’état de médecine de la faculté de médecine d’Abidjan depuis 2000, Myriam Kadio-Morokro s’inscrit ensuite à l’Unité de Formation et de Recherche de Médecine Pierre et Marie Curie – Paris XIII d’où elle obtient le diplôme Médecine et Biologie de la Reproduction en 2003.
Forte de ce diplôme et après des stages de perfectionnement à Paris, elle rentre en Côte d’Ivoire en 2005. Elle est d’abord chef du laboratoire d’analyses biologiques classiques du centre médical les BLEUETS à Abidjan.
Puis en 2008, elle créé avec 2 autres partenaires la société ivoirienne de gestion hospitalière (SIGH), société anonyme avec conseil d’administration qui a la charge de la clinique PROCREA, premier centre de fertilité avec capitaux ivoiriens ;
Depuis 10 ans, elle est directrice Générale et Responsable de la stratégie générale de la clinique. Elle y exerce également comme médecin biologiste de la reproduction.
Forte de son expertise en Matière de santé de la reproduction, elle participe en 2009 à la création du GIERAF (Groupe Inter Africain d’Etude, de Recherche et d’Application sur la Fertilité) avec 8 pays africains. Elle en a assuré le Secrétariat Général pendant 4 ans.
La clinique PROCREA a obtenu le label GIERAF depuis avril 2019. En effet, GIERAF a validé au cours d’un audit, la démarche qualité des process en Assistance Médicale à la Procréation, conformément aux standards internationaux exigés faisant de la clinique le 1er centre de fertilité à avoir été labelisé en Côte d’Ivoire.
En 2019, elle obtient le certificat exécutive Must sur le management d’une unité stratégique délivré par HEC Paris.
Leader dans son domaine en Côte d’Ivoire. Elle organise en octobre 2022, l’inauguration de sa nouvelle clinique ; PROCREA 2. Répondant aux normes et standards internationaux ; plus équipée et plus apte à recevoir l’ensemble des hommes et femmes d’Afrique et d’ailleurs en quête de projet parental. Ce domaine d’activité requiert du savoir-faire, de la confiance et de l’expérience.
Parallèlement à ces activités médicales, et touchée par la maladie d’un de ces proches et dans un but purement humanitaire, docteur Kadio-Morokro décide avec un groupe de personnes de participer à la création de la FONDATION LYA – vivre avec la drépanocytose qui contribue grâce à son action à une meilleure prise en charge de la drépanocytose.
Elle en assure la Présidence depuis 2021. Elle est engagée dans les actions de terrain et projets sur la drépanocytose.
Son expérience est associée à la mobilisation de personnes concernées, des autorités publiques, des professionnels de santé et des acteurs socio-sanitaires.